Friday, August 22, 2003

Semana triste, políticos tristes, Portugal,,..ufa!!!





Não queremos saber de nada ou de ninguém.

Estamos a borrifar-nos para o que os outros querem, fazem ou pensam



A cagar completamente para as consequências dos nossos actos



Portugal é um grande país cheio de coisas boas como as sardinhas o vinho e as gajas.

A úncia coisa assim asssim são os nativos



O tuga não quer saber de ninguém.

Quando está a dormir no sinal vermelho, que muda para verde, que muda depois outra vez para vermelho, o cabrão que já morreu está a tentar pensar em qualquer coisa mas tem a caçeça cheia de big brothers, marcas de telemóvel e férias no Algarve.



Quando pára o carro no meio da estradas o filho da puta que começa às três da tarde a descarregar as verduras para o seu mini-negócio está se a cagar nos 123 marmelos que esperam pacientemente na fila para poderem chegar mais rapidamente ao seu escritório consulta ou entrevista para arranjar emprego.



Quando sabendo perfeitamente por onde vai a fila para os bilhetes do cinema se aproxima sorrateiramente para passar à frente dos outros, o grandessíssimo cara de cú, sabe muito bem o que está a fazer, e nada quer saber das crianças velhotes e demais indivíduos que sofrem na fila para poderem comprar o bilhete pretendido



Quando num restaurante pequeno com a atmosfera abafada começa a fumar para cima dos outros



Quando não se lava e cheira mal dos sovacos o nojento nada sabe nem quer saber o que se passa com a boa disposição e saúde dos seres humanos que o rodeiam.



Quando os burros são mal tratados em todo o lado e ou não se queixam ou fazem-no oralmente, não sabendo que se não forem eles a exigir ummelhor serviço nunca nada mudará



Quando, burro queixa-se na rua do político y e do corrupto b e depois no dia das eleições fica em casa a seguir as sondagens para ver quam ganhou faz sempre papel de espectador. Como se estivessemorto,sentado numa cadeira a ver a vida dos outros a passar, porque ele, coitado, não term vida própria.



NR - Não pretende este texto ser libelo antinacionalista.

Outrosim um desbafo de quem ontem passou 3 horas para chegar do Rato á Av. do Brasil



PS:O português não quer saber dos outros porque não quer saber de si. Como está habituado a sofrer tratamento abaixo de cão,a engolir e não bufar, julga que os outros todos são iguais a ele.



Nãos eja assim. Diga a si próprio - Não quero ser assim.

Friday, August 15, 2003

Há coisas assim:

Procuramos uma inspiração, uma ideia, e de repente, bang, levamos uma estalada de saber, tranquilidade e substância.
Os japoneses copiavam para melhorar.
Eu aqui reproduzo para acordar da nossa miserável banalidade.
Jean d'Ormesson escreveu no Figaro Litéraire.
LES GRANDES RUPTURES DE L'HISTOIRE LITTÉRAIRE
Ma mère et moi

PAR JEAN D'ORMESSON de l'Académie française
[14 août 2003]


Jean-Marie Rouart, à qui j'adresse un salut, m'a proposé d'écrire quelque chose sur le thème de la rupture, j'ai d'abord pensé aux rencontres. L'histoire n'est faite que de rencontres. Adam et Eve se rencontrent dans le jardin d'Eden, Vautrin et Rubempré sur la route d'Angoulême. Et, avec toutes les variantes imposées par notre fameuse modernité, le thème central de toute fiction romanesque reste: a boy meets a girl.


Tout de suite après les rencontres, les ruptures rythment notre vie. Ne parlons même pas de la rupture vénitienne, qui a fait couler tant d'encre, entre Musset et George Sand. Me venaient à l'esprit la rupture entre Verlaine et Rimbaud; entre Flaubert et Louise Colet; entre Staline et Hitler; entre Alienor d'Aquitaine et Louis VII, qui allait bouleverser l'histoire de l'Occident en donnant une puissance formidable aux Plantagenêts et aux Anjou; entre le pape Léon IX et Michel Cérulaire, patriarche de Constantinople, d'où la formule fameuse qui allait précipiter la chute de l'empire grec: «Plutôt le turban turc que la tiare latine»; entre Chateaubriand et plusieurs dames; et surtout entre Chateaubriand et Molé, si longtemps amis intimes: Chateaubriand ayant écrit de Molé qu'il avait deux antichambres, l'une chez sa belle-mère où il insultait les solliciteurs et l'autre chez le ministre où il allait se faire insulter, Molé avait répliqué: «Ce qui m'a toujours étonné chez M. de Chateaubriand, c'est sa capacité de s'émouvoir sans jamais rien ressentir.»


Tout cela était amusant, et parfois même intéressant. J'hésitais un peu entre une rupture ou l'autre, lorsque l'idée me vint soudain qu'une rupture décisive était intervenue dans ma vie comme dans celle de beaucoup d'autres – et notamment d'une foule d'écrivains – et qu'elle m'avait bouleversé plus qu'aucune autre: c'était la mort de ma mère. Elle me paraissait résumer toute la misère de ce monde.


Longtemps ma mère avait été là. Elle m'aimait avec une partialité scandaleuse et elle me pardonnait sans se lasser mes erreurs, mes fautes, mes folies. Il ne pouvait rien m'arriver puisqu'elle était là pour m'aimer. Dans mes livres, je parlais surtout de mon père, qui était un républicain d'une espèce évanouie: j'ai souvent raconté qu'il écrivait à son contrôleur pour se plaindre de ne pas payer assez d'impôts. Ma mère, je n'en parlais jamais: c'était une affaire entre elle et moi.


Elle n'était pas une star. Elle ne tenait pas de salon littéraire. Elle ne brillait pas de mille feux. Elle n'apparaissait jamais dans les rubriques des journaux. À l'instar de mon père, elle cultivait en silence une plante au parfum désuet et dont on ne parle plus guère dans nos jardins d'aujourd'hui: le devoir. Elle l'accomplissait à ma place et me faisait contre le monde et d'abord contre moi-même un rempart de son corps. Il y avait comme un échange entre ma mère et moi: elle accumulait les mérites et elle les reversait sur moi qui faisais ce que je voulais et qui me donnais du plaisir par-dessus la tête. Lorsqu'elle est partie à son tour, vers ce que Chateaubriand appelait – à tort peut-être – «l'infidélité éternelle», je me suis senti abandonné, jeté en première ligne sous un déluge de feu, dépouillé d'un amour que je n'avais pas crié assez fort dans les jours de bonheur.


Au regard de celle-là, toutes les autres ruptures de l'histoire, et même les miennes, m'apparaissaient insignifiantes. Puisque j'avais survécu au départ de ma mère, je pouvais bien survivre à tous les abandons: j'étais passé au travers de la barrière de feu.


En me souvenant du chagrin que j'avais ressenti à la mort de ma mère, j'ai souvent pensé avec effroi à la douleur que devait éprouver une mère qui perdait son enfant. Toutes les autres souffrances s'effaçaient au regard de cette horreur où triomphait le mal. L'ombre du plus grand drame de toute l'histoire des hommes se profilait à l'horizon: celui de Marie au pied de la Croix entre saint Jean et Marie-Madeleine.


Je me mettais à rêver à cette aventure incroyable et pourtant si banale: les liens entre une mère et l'enfant qu'elle avait porté en elle et qui était sorti de son sein. Ce qu'il y avait de plus quotidien, la naissance et la mort, était inimaginable. Et proprement inconcevable. C'était comme ce problème du temps sur lequel se penchent depuis toujours, et toujours en vain, philosophes et savants: si nous ne savions pas d'avance, par vocation, par destin, par un miracle toujours renouvelé, ce que sont le temps, la naissance et la mort, aucun esprit, jamais, et nulle part, ne pourrait les imaginer, ni même les concevoir. Le seul mystère, c'était la banalité de chaque jour et de chaque instant. Je finissais par me dire qu'avant même la mort de ma mère, une autre rupture sanglante, à laquelle il m'était presque impossible de penser, était intervenue, à mon insu, entre ma mère et moi, c'était ma naissance.


J'étais ma mère. J'étais une part d'elle-même. Je vivais en elle et par elle. Et puis, dans la douleur et le sang, je m'étais séparé d'elle. De cette première rupture, qui m'avait sans doute fait pleurer et crier, je ne gardais aucun souvenir. Mais quel choc ç'avait dû être! Comme j'étais bien dans le sein de ma mère avant d'être jeté dans la souffrance du monde! Ma mère me quittait en mourant: je l'avais déjà quittée en naissant.


Pour qui a vécu ces deux ruptures successives, la rupture, si fascinante, entre Aragon et Nancy Cunard, ou entre saint Thomas Becket et Henri II Plantagenêt, ou entre Frédéric II Hohenstaufen et le pape Innocent, étaient de la roupie de sansonnet. À mes yeux au moins, elles ne valaient ni ma naissance ni la mort de ma mère.


Il y avait une troisième rupture, une troisième barrière de feu, à laquelle il m'était impossible de ne pas accorder une pensée, au moins fugitive: c'était ma propre mort. «On n'entend dans les enterrements, écrit Bossuet, que des étonnements de ce que ce mortel est mort.» Un jour ou l'autre, le temps passe si vite, j'irai rejoindre ma mère dans ce que, faute de mieux, nous appelons l'éternité. Une éternité de néant, peut-être? Eh bien, je ne serai pas malheureux de partager ce sort avec une mère qui m'aimait plus qu'elle-même et que j'avais le bonheur d'aimer. Ou, peut-être, qui sait? une éternité de lumière? Alors, pour cet adieu-là, pour cette dernière rupture, les seules larmes à verser seront des larmes de joie.

Wednesday, August 13, 2003

40 anos!

Se tivesse que resumir tudo o que aprendi, se tivesse de convencer algém de qualquer coisa, se pudesse alterar algumas das coisas que fiz mal algumas das certezas que confirmei:



1 - Somos quase todos assim assim. Há uns 2% que são muito bons e uns 2% que são muito maus.
2 - A partir dos 15 anos (aproximadamente) ninguém muda de opinião, sobre nada. A conversa deve portanto ser cuidadosa, construtiva e polida (Ler "Mélanges" de H. Bergson, Capítulo "La Politesse"). Devemos estar seguros da nossa opinião e experiência mas não devemos ter a arrogância de possuir a razão ou a verdade.
3 - A inteligência, o saber (detesto a palavra cultura...) e a experiência ajudam mas não são crí­ticos para se conseguir uma vida feliz. Eu trocava a inteligência pela criatividade, o saber pela curiosidade e a experiência pela ousadia.
4 - Sex is overrated. Na realidade, há muitas outras coisas que não nos dando tanto prazer nos fazem mais felizes. Por exemplo quem não trocava três, ou mesmo vinte marteladas, por uma ida ao Real Madrid-Manchester no Barnabéu? (antecedido e seguido de umas tapas no Cachirulo, mesmo ao lado??).
A vida sexual tem 4 fases:
A primeira começa com a tesão até à  primeira martelada, que é sempre óptima. Falo dos homens, é claro.
A segunda fase, entre a segunda queca e os 25/30 anos é a do reconhecimento. Martelar é marcar território, As quecas não têm valor se não se puder contar ou fazer saber aos amigos. Que somos machos, que temos fêmea e que ela faz parte do nosso território.
A terceira fase é a do sexo reprodutor, mistura de amor, paixão e vontade de fazer filhos e construir família.
A quarta é a do sexo fantasia. Não se quer a cama. Procuram-se locais, oportunidades e posições estranhas, diferentes.
A última é a do sexo recordação. Sobre esta, falo daqui a 10/20 anos.
5 - Nunca dizer mal duma antiga namorada.
6 - É tão importante conhecer o ciclo de cultivo do agrião como conhecer os pensamentos e escritos de Séneca, Cí­cero ou Lucí­lio.
7 - Há um conjunto de actividades do nosso dia a dia que se aproximam do conceito de arte. Por exemplo cozinhar.
8 - A maior parte das pessoas preferia um filho heterosexual e infeliz do que homosexual e feliz. A pesar de dizerem o contrário.
9 - As pessoas infelizes são desatentas da vida, normalmente egocêntricas, e eivadas de algum complexo de superioridade.
10 - É mais importante ser bom do que feliz. Ser feliz do que ser rico. Ser rico do que ser inteligente. A inteligência serve de muito pouco.
11 - Há quatro grupos de amigos. Aqueles que gostamos, que gostam de nós e com quem vivemos quase todos os dias. Aqueles que gostamos e que gostam de nós e que vemos pouco. Os que gostam de nós. Aqueles de quem gostamos.
12 - A maior parte dos políticos começa com espírito de missão. Mais de 90% deles, ao fim dos primeiros anos, quer ganhar dinheiro e garantir o seu futuro.
13 - Deus existe. Jesus era o seu filho. Deus quer que sejamos felizes. Portanto, maduramente, bem informados e de livre vontade, podemos fazer tudo o que queremos sem chatear os outros. A prostituiçõo nãp é mais do que um trabalho, a homosexualidade uma opção, o consumo das drogas uma coisa boa , o alcool idem, o suicídio um caminho. Nada disto são pecados. A igreja é uma coisa boa mas nisto está enganada. Como já esteve enganada várias vezes. O céu existe e o inferno também.
14 - Portugal não tem futuro. Mas não o devemos repetir muitas vezes.

Monday, August 11, 2003

Então é assim:

As televisões privadas, no seguimento dum protocolo que vão assinar com o Governo comprometem-se a gastar ainda menos em serviço público do que o que gastavam até agora.


Desculpe:
Importa-se de repetir?


As televisões privadas, no seguimento dum protocolo que vão assinar com o Governo comprometem-se a gastar menos em serviço público do que o que gastavam até agora.


Então para que serve o protocolo?
Para carimbar a actividade de regulador do Exmo Sr Ministro da Presidência.
As privadas continuarão a fazer rigorosamente o que lhes apetece, a AACS mandará menos que um gato vesgo, o Observatório observará e a RTP continuará como até agora: de mal a pior. Nuno Santos é o director adjunto que manda menos na RTP do que eu. Luís Marques, assessor do PSD, continuará a cozer o Sr Nuno Santos em lume brando. Odeia-o por causa da SIC Notícias. O Tio Andrade continuará a proteger os seus bichanos, filhotes que lá trabalham. A Brandia facturará muito porque é dirigida por um amigo de Gonçalo Reis dos velhos tempos do Missão Portugal. E macacos me mordam se a Toupeira Fibromiálgica não vai mesmo fazer uns programas.
Balsemão em acelerada cura taloniana, diverte-se, e Pais do Amaral observa.
Isto é tudo tão giro. O engraçado mesmo é ver ainda algumas pessoas que acreditam no que fazem....

Não acabam com os fogos porque não querem!!

Uma solução para esta loucura dos fogos!
Portugal é um quadrado de 680 por 180 km, numa superfície total de cerca de 90.000 km2.
Tem, dizem-nos, cerca de 3,3 milhões de hectares de coisas para arder, o que equivale a cerca de 33 mil quilómetros quadrados.
Com um quadriculado aproximado de 3,3 km de secção são necessários cerca de 10 mil pessoas para cobrir o território nacional, ficando cada um destes vigilantes com uma parcela de 3,3 Km2, numa área que em qualquer circunstância não demora mais de 10 minutos a percorrer.
São necessárias assim 30 mil pessoas (voluntários, estudantes, desempregados,...) empregues durante 4 meses - de Junho a Setembro -; a pagar 600 euros por mês seriam necessários (estão isentos de IRS e Contribuições para a Segurança Social),- porque também são necessários 3 turnos, e trabalhar aos fins de semana - cerca de 96 milhões de euros.
Cada um destes vigilantes seria equipado de telemóvel, uns binóculos e um telemóvel com GPS e teria de comunicar de 15 em quinze qualquer ocorrência na sua área de vigilância a um departamento central de Combate aos Incêndios, que incluiria no mínimo um helicóptero por sede de distrito equipado com um kit de Intervenção rápida.
Além do efeito da vigilância sobre os acasos naturais, é sensível o efeito da coacção sobre os criminosos amadores.
Suponhamos que a reducção dos incêndios era de 50%. Como se diz que o PIB das florestas representa cerca de 3,3% do PIB falamos de qualquer coisa como ,033*120.000.000.000 = 3.960 milhões de euros, então 50% seria 1980 milhões de euros. Negligenciemos por enquanto o valor da madeira queimada, e a duração dos efeitos negativos, que não é só um ano...
Valia a pena ou não?
Porque nada disto acontece?
Poruque o poder político não tem incentivos para proteger a floresta. Os votos vêm dos serviços nos hospitais, de escolas disponíveis e dumas teatralidades na RTP. Quem quer saber do mato queimado?
Do You?

Sunday, August 10, 2003

Envelhecer!

É dar mais importância aos sentidos, ter mais paciência, não querer convencer ninguém da sua razão, gostar de ouvir histórias estranhas, desacreditar na ordem e organização, acreditar mais ingenuamente de que os homens são bons, ganhar a certeza de que não há proibidos, olhar para o corpo como um amigo, sentir as semanas e meses mais curtos, ter mais saudades do que já se viveu, esperar com calma as coisas que a vida nos guarda, gostar de papel,...

Thursday, August 07, 2003

APV pergunta e eu respondo!

"Óh liberal, és a favor ou contra os casamentos homosexuais"?
Respondendo:
Simplificando: Cada um faz o que quiser. No aspecto formal da questão não há implicações individualistas de um casamento gay.
Mas complicando:
Suponhamos agora que um pai de 50 anos quer casar com uma filha de 25. Quem aceita o primeiro deve aceitar o segundo?
complicado...

A brincar é que somos bons!

O Sporting ganhou ao Manchester 3-1.
Porque era a brincar, porque se fosse a sério perdia por 4 ou 5 de diferença.
A justiça, a brincar, prendeu Vale e Azevedo. A brincar porque foi só depois de ele ser presidente do Benfica, e nunca mais prendeu ninguém. A não ser a brincar com a vida das pessoas que ficam dentro, meses sem fio, sem culpa formada.
Portas brinca, Morais Sarmento brinca, o Teias brinca. Nós a brincar somos muito bons.
O país, a brincar cresceu mais rapidamento do que a média europeia e alguns sinais de desenvolvimento são visíveis.
Mas a sério a sério, o país está na mesma.
A saúde, a educação, a segurança estão pelas ruas da amargura. Navegamos sem rumo, tratamos do papel de embrulho e da festa seguinte - o Europeu 2004.
Por exemplo precisamos de resolver o problema em do excesso de carros em Lisboa. Motivamos as pessoas a viver na cidade? Não. Alteramos a Lei do Arrendamento? Não. A brincar fazemos túneis para acelerar os processos de engarrafamento. O túnel tem um orçamento a brincar que vai ser multiplicado no mínimo por 3 e demorar pelo menos mais 4 meses do que o prazo previsto.
Mas é tudo a bincar?
De intenções nunca é. A séria Lei do Trabalho foi depois aprovada numa versão mais light, lúdica. A sisuda nova regulamentação dos medicamentos sofreu depois uns toques alegres e festivos. De festa em festa atá à completa espanholização.
Abraços jocosos.
The Joker

Sunday, August 03, 2003

O fim de semana divertido...

1 - Para Mário Soares, Paulo Portas é "um tumor" que deve ser extirpado.

2 - O Leixões ganhou ao Sporting

3 - O país está a arder e Durão Barroso diz que está preocupado.

4 - A paródia continua na RTP. Maria Elisa ganha 15 mil euros por mês, da baixa??!!

5 - Para entrar na Universidade Pública basta ter 5 valores.

6 - 47 graus na Amareleja.

7 - Soubemos dum T3 de 145m2 à venda na Rua da Emenda por 800 mil eurinhos.

Portugal é o máximo.....

Friday, August 01, 2003

Políticas!

Alguém do Governo tinha prometido a alguém do PSD, que tinha prometido a alguém de Canas de Senhorim e Fátima que as terreolas passariam a concelho.

O Sampaio não gostou e por isso vetou, e o seu conselho é que não haja concelho..



O Governo ficou todo contente, porque disse ao PSD que nada mais podia fazer; que disse ao povo que mais nada havia a fazer.

O Governo não refilou, não recorreu, não re-apresentou a lei ao parlamento. Mostrou grande indignação, mas pela primeira vez desde o 25A, o Governo não recorre dum veto presidencial a um diploma fundamental!
Life is so simple!!